En effet, il n’est pas rare que le saké coule à flot à la muraille d’or! J’y ai toujours été très bien accueilli, même lorsqu’il était un peu tard. Le couple de patron est adorable et aux petits soins avec les clients. La cuisine est très bonne et pas chère. Pour né rien vous cachez, j’y étais le même soir que Nico, juste après un arrivage de véritable saké chinois, pas celui qu’on trouve partout en france… On en a goûté plusieurs au point de né plus vraiment savoir lequel on préférait. Le patron nous à même offert des cigarettes chinoises… Mais ça bof bof!
Colin C.
Tu valoración: 3 Toulouse
Nous y sommes entrés un soir d’hiver; le restaurant était désert et nous avions pour seuls compagnons une serveuse timide et deux chauffages électriques qui dégageaient une nauséeuse odeur de brûlé. Une pièce rectangulaire et rectiligne, un éclairage blanc de cantine, une déco épurée au maximum: ce resto est la définition même de la sobriété. Dans ce contexte particulier, nous avons mangé, à prix raisonnable, des nems croquants et de bons raviolis chinois dans un calme religieux et une atmosphère des plus austères. Quelle différence d’ambiance avec le quartier ! Mais preuve que ce n’était pas si mal, nous y sommes retournés par la suite… Pour emporter, cette fois.
Nicolas V.
Tu valoración: 4 Toulouse
J’aurai plutôt envie d’appeler cet endroit la maison du saké. Qu’est-ce qu’on a pu en boire dans ce resto là. Tout d’abord, la muraille d’or est sur la place des tiercerettes, lieu hautement festif! On sort rarement dans le quartier pour sucer des glaçons. C’est après avoir fait vingt fois le tour des restos de la place(chez mamie, la gaité, l’esquinade le défunt pottok, paix à son âme!) et en voulant changer un peu que nous avons découvert ce chinois tout simple et sans chichi. Bön et pas cher, il est même devenu rituel à une époque d’y aller en bande tous les lundi soirs. A force de finir gaiment au saké standard aromatisé à l’eau de rose, nous avons voulu savoir à quoi ressemblait l’alcool que buvaient les chinois en chine. Depuis, il y a toujours un nouvel alcool à gouter. Mais attention, les alcools locaux né sont pas vraiment adapté au gout occidental. C’est assez curieux, voire repoussant pour certains. Mais c’est le geste qui compte, on va bien finir par s’adapter en s’entrainant.
Pauline F.
Tu valoración: 3 Toulouse
Hier, une envie irrépressible de manger des nems, des samoussas, des rouleaux de printemps et autres spécialités asiatiques me prend … Je contacte en urgence mes deux meilleures amies et l’on se rend toutes les trois à la Muraille d’Or. Nous entrons dans ce petit restaurant calme et à la décoration sobre et découvrons avec merveilles une carte riche et diversifiée qui nous laisse dans l’embarras du choix le plus total. Une fois nos entrées et plats choisis, l’attente n’est plus très longue et pour un résultat qui nous satisfait toute les trois. Mes rouleaux de printemps arrivent à point nommé pour calmer mon envie de spécialité asiatique, frais et parfumés, ils remplissent parfaitement leur mission, tout autant que le poulet curry qui les suit. De l’entrée au dessert(oui finalement on a aussi craqué pour un dessert !) nous avons bien mangé, sans excès, dans une ambiance calme, peut être-même un peu trop à certains moments. Accueillant et bienveillant, le duo de la Muraille d’Or a tenu à nous offrir un saké avant de nous laisser repartir dans le froid de novembre …