L’Institut d’Etudes Supérieures des Arts

L’IESA, Institut d’Études Supérieures des Arts, regroupe plusieurs spécialités contrairement à ses deux concurrentes l’ICART et l’EAC (la première est une école de communication et d’évènementiel qui se cache sous le statut «école du commerce de l’art «et la seconde comprend deux formations: évènementiel et commerce de l’art).
À l’IESA, on choisit entre trois domaines: les métiers de la culture (cela concerne la conservation des musées, commissaire d’exposition, …), multimedia (tout ce qui touché au design, à la création, au graphisme) et le commerce de l’art (qui forme aux métiers de commissaire-​priseur, expert en objets d’art, courtier). Les cours sont donnés par des professionnels qui exercent dans un domaine précis. Ils sont donc aptes à parler de l’actualité et nous ont bien préparé à subir la crise.
J’ai eu la chance d’être étudiante dans cette école dans la filière «commerce de l’art «dans laquelle je me suis vraiment épanouie car les plus grands commissaires-​priseurs et experts nous ont beaucoup appris lors de la formation
En plus de cela, dans la semaine on alternait entre deux jours de stage et trois jours de cours. Des journées intensives où l’on faisait du 9h-​20h voire 21h. Cela né nous a pas rendu très fêtard le week end ! Heureusement, l’école demande peu de travail, l’atout est la formation concrète: les stages. Une école privée relativement chère qui nous sert à nous constituer un bon carnet d’adresse.
Le point négatif: les étudiants de l’IESA, sur le terrain, on les reconnaît: pour généraliser, pas de simplicité comme à l’EAC ou à l’ICART. La directrice nous sélectionne pour nos compétences après plusieurs tests de niveau mais aussi pour notre statut social. Vous l’aurez compris, l’IESA est rempli de nobles, de riches, de snobes et parfois tout à la fois. Les autres se font rares (un boursier par promo, pas plus attention !).