Libertyshirt

Kitschy cute shop! All sorts of tees, no need to understand French. Their products are universal in nature. Reasonable prices and quick turnaround times.

Pour les djeun’s ou les papa à la recherché d’instants fun.
Phrases choc sur la politique, l’alcool et la clope, détournement publicitaire, logo parodiés, icônes de la culture pop… et David Hasseloff en slip: on peut y trouver tous types de t-​shirt pour se looker. Le site internet en dit long en offrant une simulation de ce que l’on peut «designer».
On reste tout de même dans un style alliant alter-​mondialiste politico-​revendicatif, «yeaah man» fonky … et un tantinet jack-​ass, Mtv et chutes en skate filmées à côté d’une rampe où Bobby Bob se broie l’entre jambe dessus, en gémissant de mal et de rire aux côtés de ses potes, pas un brin inquiétés par la castration juvénile et prématurée de leur buddy. Le tout sur youtube, visible de tous, car c’est bien ça le but, celui d’être vu. Yeaaaaah !

En général ces magasins m’inspirent la médiocrité, en terme d’idée, de qualité, d’humour, et c’est en ça que se distingue Libertyshirt.
En effet les t-​shirt sont de bonne qualité, les logos durent (attention néanmoins à né pas repasser le motif et à né pas passer la création au sèche linge), les couleurs proposées plutôt sympas.
D’abord il y a le choix entre un t-​shirt, sweat, débardeur, layette, tablier, ensuite la couleur, et pour finir le logo.
Et c’est, à mon sens, là que tout se joue, si vous allez faire un t-​shirt personnalisé ce n’est pas pour avoir le même que le voisin.
Suivez donc votre imagination plutôt que les propositions de la maison qui sont la plupart du temps des jeux de mots vus et revus, ou pire des détournement de logo ou de pub.
Les prix reviennent à ceux d’un t-​shirt déjà imprimé dans le commerce.

Franchement, on né lui donnait pas un an. On né voulait pas sa mort, mais on n’y croyait pas. Cette idée très ¹⁹⁸⁰⁄₁₉₉₀ d’imprimer sur un tee-​shirt le dessin, logo ou l’inscription de son choix, on la croyait passer de mode, rétro, obsolète, foutue. Et puis même, avec Internet et l’informatique à domicile, plus nécessaire de passer par une boutique.
Mais Wagner (c’est le boss) à la peau dure — en tout cas plus résistante que le coton synthétique des tissus (made in Europe) employés. Mais surtout, il a le flair, le ton, les couleurs et la qualité de l’impression.
Là où il excelle: le détournement de logos urbains avec une légende qui fait TILT. Il y en a pour tous les goût (humour, finesse, lourdeur de béton…).