Les Sourires de Dante

Super bof, l’accueil est très bon, la carte comporte peu de choix mais les plats sont alléchants, ce qui rend la déception plus grande, les plats sont très très basiques (rumsteack coupé en lamelles pour donner l’impression d’avoir quelque chose dans l’assiette) les cuissons non respectées, l’attente longue, le cuistot se plaint quand les clients trouvent l’attente longue… le tout pour 20 € le plat, ce qui devrait coûter 15 € en brasserie…
Si vous avez les moyens et que vous êtes ami avec le cuisinier/​patron, ce restau est bien car ça reste bon, mais à ce prix là…

On né peut pas mettre 0,5 et c’est bien dommage !
Les sourires de Dante entre dans mon TOP5 des pires restos testés et voilà pourquoi :
— La carte affichée sur LaFourchette n’est pas du tout celle proposée
— la qualité des plats est exécrables (aucun assaisonnement, présentation horrible)
— les tarifs sont exorbitants compte tenu de la qualité
— la carte des vins n’est pas à jour (moche pour un resto qui se dit «bar à vins») et la serveuse était incapable de savoir si notre bouteille était disponible
— le patron qui boit sa bière et utilise son téléphone portable pendant 1h
— le patron qui engueule ses cuisiniers devant les clients
Bref, un beau gâchis puisque le cadre est plutôt joli.

Ceci est probablement le pire restaurant où j’ai mangé.
Réservation prise avec LaFourchette, pour un samedi soir où nous avions envie de dîner dehors mais pas trop loin, le resto est à 5min de chez nous.
L’accueil lance les hostilités, la serveuse né sait pas qu’on a réservé via LaFourchette, nous fait asseoir. Puis elle court partout d’un air ultra stressé dans la petite salle: la table derrière a demandé un vin blanc sec et elle n’a pas de quoi remplir 2 verres. Nous sommes dans un «bar à vins» apparemment pourtant. Le patron n’est pas là, elle né retrouve pas les bouteilles. Pendant ce temps nous attendons, on né nous a proposé ni la carte, ni un apéritif, rien, pendant plus de 20min.
Le patron finit par arriver, me regarde, né me salue pas, manqué de renverser une table. On se pose des questions sur sa sobriété.
La cliente de derrière vient réclamer pour la 3e fois son banc, il lui répond en bougonnant et lâche une fois qu’elle a le dos tourné «oh elle est chiante !».
Ultra classe.
Nous avions réservé car mon cher et tendre avait envie d’un plat mentionné dans les propositions de la carte sur LaFourchette (entrecôte angus sauce à la fourme). Aucun de ces plats né se retrouvait sur la carte du resto.
Pendant que nous parcourons l’ardoise, le patron tranche pour la table à côté de la charcuterie, j’ose préciser qu’il n’a pas pris le temps de se laver les mains en venant de l’extérieur hein. J’enlève de suite l’assiette de charcuterie de mes choix.
Je prends l’osso bucco, chéri tente l’andouillette, qu’il demande bien grillée. On essaie de choisir un vin dans ce bistrot à vin on se dit que ça doit être le bon endroit. Apparemment pas: pas un seul conseil, on nous dit que la carte des vins n’est pas à jour, on choisit à moitié par dépit un Côté du Rhone 2013 (puisque notre premier choix n’est pas disponible) qui arrive, tout droit sorti de la cave, et… froid.
Mon assiette est insipide. Un osso bucco peu goûtu, des tagliatelles jetées à côté, à peine passées au beurre, le plat fait à la va-​vite.
L’andouillette est pire, elle arrive quasi pas cuite, et bien qu’on la fasse repartir en cuisine pour un coup de chauffe, lorsqu’il la tranche elle n’est absolument pas grillée (voire cuite) à l’intérieur. Accompagnée d’une purée qui fait plus mousseline que maison, ça fait beaucoup.
Mon chéri réclame le sel/​poivre, on lui donne 2 pots Ducros… qu’on lui enlève 2min après pour les donner à une autre tables. Ah, 1 set pour tout le resto ?
Puisque notre vin était ultra froid nous avons essayé de trainer pour dîner le temps qu’il se réchauffe, et ce n’est que pour finir le vin que nous avons pris des desserts.
Chéri prend l’assiette de fromage et je tente le moelleux au chocolat.
L’assiette de fromage à 10,50 € (!) comprend 3 pauvres bouts de fromages, un st nectaire et 2 fromages italiens, baignant dans l’huile d’olive. Seul le st nectaire a un peu de goût. Un sur trois donc. Ah le pain est bon sinon, mais c’est tout.
Mon moelleux est bon, bien que je doute que ce soit un fait maison, avec sa micro boule de glacé industrielle.
Lors de notre diner nous avons eu le plaisir d’avoir la vue sur Francis le patron, au téléphone pendant 30 à 45 minutes, son demi de bière à la main, quand il n’engueulait pas Joséphine la serveuse, ou ses deux pauvres cuisiniers. Il a quand même fait un scandale en plein resto parce que ses cuisiniers étaient allés acheter de la crème plutôt que de lui demander à lui.
J’ai regardé mon cher et tendre et lui ai sincèrement demandé où était la caméra cachée.
Le maître-​mot? Désorganisation.
La conclusion? Catastrophique.
Des plats chers, sans goût, ni une once de présentation, un accueil horrible, ce resto porte le nom de bar à vins mais n’est pas fichu d’en avoir le dixième sur sa carte. Comme les plats né ressemblent ABSOLUMENT PAS aux photos de LaFourchette je mets mes photos de cette soirée.
Si un jour vous passez du côté de Mouton Duvernet, pitié, fuyez.
Si Philippe Etchebest veut se lancer un défi c’est là qu’il doit aller.
Les sourires de Dante on en ressort en tirant sacrément la gueule.

A delightful little café — brasserie, with friendly staff, amazing duck, and indulgent foie gras.
They suggested having the duck rosé usually a good sign), then executed beautifully. The accompanying mashed celeriac paired nicely.
Even the salad had some nicely balanced flavors.
The staff was starting their afternoon meal as we were finishing up; is always a good sign when the waitress, cook, and manager all seem to be friends.
The wine selection is extensive, and we’ll worth exploring.

Joli cadre. Il semble qu’il faille être un habitué (ce bistrot parait très prisé d’une clientèle fidèle du quartier) pour obtenir un service prévenant, car on se sent de trop lorsqu’on vient pour la première fois. Cuisine médiocre. Assez cher pour ce que l’on a dans l’assiette.

oui c’est une agréable surprise, ce petit retaurant qui propose des plats bien cuisinés à partir de produits de qualité que le chef va se procurer à Rungis: le gigot est cuit comme il faut et nul doute qu’avec une telle saveur, il n’appartient pas au contingent des gigots surgelés; consommé de cèleri trés subtil en entrée; les vins sont strictement naturels tels que le patron en défend l’élevage: on fait avec ces vins d’honnêtes découvertes et le patron est accueillant. Le rapport qualité prix est bon. A découvrir

Très bon accueil, ambiance sympa.
La cuisine est simple et excellente. Un choix de vin éclectique. Je vous conseille le Grain de Folie.

Tout beau, Tout bio!
Sur une petite place ensoleillée du 14eme se trouve ce petit bar à vin familial: en cuisine, Dominique, le père, prépare ses pâtes fraîches et ses plats du jour, sélectionne la charcuterie fine et assaisonne les légumes du marché. En salle, Frédérique, la mère, sert les vins naturels aux noms qui font rêver: La Fille de l’Air en rouge, La Vagabonde en blanc, le P’tit Scarabée en rosé… et dépose gentiment sur chaque table quelques rondelles de saucisson. Puis leur fille Béatrice arrive avec le gâteau au chocolat et la tarte Tatin qui sortent à peine du four, des baguettes chaudes sous le bras, et va s’asseoir avec des amis. Entre ces joyeuses allées et venues, on peut s’installer aux grandes tables de bois et déguster une assiette de fromages en hiver, en se laissant tenter par l’excellent «Piano Rosso «rouge, ou bien boire un jus de fruit sur la terrasse au soleil l’été… oui, un jus de fruit, car il n’y a pas de sodas aux Sourires de Dante: on vous l’a dit, tout est bio.

Tres sympa, tres bon et bon rapport qualite prix .a faire