Très mal fréquenté, aucun sens de l’accueil même si dépensons, complètement collé entre chaque table. L’inverse du luxe.
Lucile C.
Tu valoración: 2 Paris
A la place du Sens, coincé entre ‘la boîte’ et ‘le barock’(tout ça fait très club de province), l’Aristo est apparemment la ‘nouvelle boîte jeune et branché où il faut avoir été’. Bön, ok, nous profitons donc de la soirée d’un ami pour tenter l’Aristo. Moyenne d’age: la petite vingtaine; moyenne de coût de la chaussure à talon: Christian Louboutin; moyenne de jeune fille jambes nues alors qu’il fait deux degrés dehors: 2 ou 3 par quart d’heure; moyenne de temps d’attente supporté avant de quitter les lieux sans même avoir passé la porte: une trentaine de minutes. Oui, car qui dit soirée réservée et dizaines d’invités arrivés, apparemment, dit aussi que l’on né rentre qu’à la convenance des videurs, dans le froid et l’inconvenance d’avoir une centaines de jeunes agglutinés au même endroit. Car qui dit ‘nouvelle boîte jeune et branché où il faut avoir été’ dit beaucoup d’affluence(on est content pour eux!). Apparemment, le fait de se mettre bien sagement en rang en avançant millimètre par millimètre dans un froid glacial et en étant rabroué toutes les dix minutes par un agent du silence urbain en gilet fluo, c’est ça aussi qui fait la branchitude clubbienne de l’Aristo. pourtant la programmation a l’air sympa, la vidéo en noir et blanc qui passé en boucle au dessus de la porte nous promet dance floor, tables vip, jeunesse dorée parisienne qui s’amuse, clins d’œils et autres bisous lancés dans les airs, et danseuse très déshabillée(faux seins et scotch sur les tétons, d’après le flyer) jouant avec le feu(littéralement). Bön, l’attente est vraiment rédhibitoire. Tant pis pour cette fois. S’il y en a une prochaine…