Düo

Brunch à 19 € avec boisson chaude OU jus de fruit pressé, oeufs brouillés avec bacon et pommes de terre sautées. Et buffets sucré et salé à volonté !
Saumon fumé, carpaccio de dinde, salades healthy et bio, petits cakes aux légumes, charcuterie et fromage fins. Les pâtisseries sont à tomber (muffins, cakes, cookies, clafoutis…), le pain est croustillant, l’ensemble à déguster dans un cadre arty/​industriel, à ambiance décontractée…
Les portions sont réduites mais les saveurs nombreuses et originales !
A refaire !

Depuis quelques temps déjà, l’Udo, bar à dancefloor germano-​parisien, a un petit frère. Son nom, Düo. Ces deux-​là se complètent bien, le second remplissant parfaitement la case des lendemains de cuite due au premier. En clair, après avoir passé une folle soirée, mêlant bouffe grasse, litres de bière, musique à fond, foule et transpiration, tu savoureras le calme d’un déjeuner au Düo.
De l’autre côté des grandes baies vitrées: un petit espace restauration épuré et sobre. Quelques touches de mobilier vintage. Un mur en mode tableau noir pour indiquer le menu du jour, fait maison. Pour nous, ce sera une délicieuse (et je pèse le mot) soupe de petits pois (mais oui, une soupe de petits pois, ça peut déchirer sa mère), suivie d’une assiette de riz et de poulet au citron et d’un fondant au chocolat se défendant très bien également.
Ici, tu peux aussi apéroter, voire dîner (Düo propose des planchettes notamment), mais le lieu est vraiment plus fait à mon sens pour la pause déj et né rivalise pas vraiment avec le grand frère pour les party people (party people agoraphobes mis à part).
Enfin, sache qu’en sus de te sustenter sainement, tu pourras t’y aérer l’esprit dans la deuxième salle qui fait office de galerie d’art. Mais pas que: si tu préfères simplement poser tes fesses dans l’un des confortables fauteuils disséminés dans l’espace et digérer peinard, au calme, c’est possible, aussi.
Bref, voilà une petite bulle bien agréable dans un adorable petit coin parisien. Pour celles et ceux qui aspirent à un peu de saine attitude.

Testé en soirée, je pense que ce n’est pas le meilleur moment pour profiter de Düo.
En effet, le lieu semble plutôt taillé comme une cantine bien agréable le midi plutôt que pour un dîner en amoureux, au moins vous le saurez !
L’endroit est un brin bobo, propose des plats végétaliens (garantis sans oeufs ni produits laitiers) et des produits bio, et l’accueil est adorable: on s’y sent bien !
La carte affichée au mur n’est pas bien longue mais très appétissante. En guise d’entrée nous avons testé le rouleau de printemps à la mangue, très frais et vraiment bon: ça change des rouleaux de printemps industriels qu’on nous sert bien souvent !
Le porc au curry coco était très bon aussi, accompagné de petits légumes parfaitement cuits et d’un mélange de riz-​quinoa parfait arrosé avec le bouillon.
Nous avons visité la partie galerie en guise de dessert, on y trouve de beaux bouquins et de belles photos exposées aux murs.
Je reviendrai avec plaisir pour un déjeuner entre copines !

Moitié galerie d’art moitié resto/​salon de thé, l’établissement a ouvert il y a juste un mois !
La cuisine est tenue par une japonaise, le service par une allemande, une bonne équipe ! Le midi il y a une formule E+P ou P+D à 15 € ou E+P+D à 18 €.
Au menu du jour:
E — rouleau de printemps (poire, aubergine, soba, carotte, choux rouge) et sa petite sauce salée au cacahuete = une tuerie fraiche et croquante
P — Pot au feu à la japonaise échine de porc ou soupe de carotte bio avec une assiette de riz poele au mais, salade et petits légumes. Ca ressemble à une assiette faite à la maison, les proportions sont genereuses et tout est bon.
D — Brownie ou gâteau à la banane ou un bon fromage blanc granola et confiture de fruits rouges.
Il y a une sélection de 3 vins pour le rouge et le blanc, j’en ai pris un léger au dejeuner, presque petillant, suprenant comme du cidre (Luchini 4 euros)
Tout a été servi rapidement, j’ai passé un chouette moment
Les murs sont faits de grandes baies vitrées, ca doit etre vraiment super en temps ensolleillé, malheureuseument pour nous c’était un peu la grisaille…