Mon regard avait été attiré par la vitrine, comme capturé, il avait fallu que je m’arrête pour mieux regarder. Y étaient exposées des reproductions de pochettes de disques, en grand format et en peinture à l’huile. De belles pochettes, piochées aux catalogues de labels de Jazz décisifs dans les années 50 et 60, chaque pièce est magnifique. Je m’étais donc entretenu avec le responsable du lieu, qui expose ce que j’appris être la collection locale jusqu’à épuisement des stocks. Il ouvre le reste de son espace pour des expositions, qui durent de quatre à six semaines selon ses dires. Plutôt de ses espaces d’ailleurs, puisque scindé en deux lieux d’une trentaine de mètres carrés chacun, il y a deux espaces en un, qui sont vraisemblables, plaisants, et très lumineux. Chaque proposition, qui doit parvenir par mail, sera étudiée.