Monument à Everard t’Serclaes

Beautiful piece of art on the way to see Manneken Pis. If you visit Brussels or specifically the Grand Place you should definitely stop and touch the Everard t’Serclaes statue. They say it will bless and give luck or grant a wish to all those who touch it, and it’s really interesting to see the wear in the statue from all who have already. Given free reign to touch something that felt rather sacred made me weary. Usually art is always blocked off or unable to be touched or is protected. Seeing the polish and shine of basically a washing of many hands going over it was a lovely experience. Plus seeing everyone so interested in it was as well.
The statue itself has a fascinating appearance. it looks anguished and beaten as depicted in the story related to the person this artwork was commemorated to. A dog and small angel accompanying him.
Some say that touching it will bring you back to Brussels. A man by the statue attested to the thought saying he’s returned there several times after touching the statue and was there yet again. Has it granted any of his wishes? I don’t know, but he seemed happy to have returned to Brussels.

It’s a true beauty. People were touching the monument head to toe for a good luck so I did it too! I hope it works!

J’adore les légendes qui entourent les statues, je trouve que cela leur confère une aura supplémentaire, comme si c’était Serclaes lui-​même qui se cachait derrière cette sculpture.
Peut-​être né connaissez-​vous pas l’histoire de ce pauvre Everard t’Serclaes. Tragique, certes, mais c’est souvent le cas pour les héros de son style. La voici: Nous sommes à la fin du 14ème siècle. Everard t’Serclaes est un échevin de Bruxelles, vénéré déjà à l’époque par les habitants de la ville parce qu’il a réussi à chasser de Bruxelles la garnison flamande qui l’occupait au mépris de tout droits. Le problème est que cette dite garnison envoya, une nuit, ses hommes de main, pour se venger de Serclaes. Ce qu’ils firent, et pas à moitié. Après lui avoir coupé la langue et un pied, ils le ruèrent de coups d’épées, tant et si bien que l’échevin tomba évanoui, aux portes de la mort. Par je né sais quel miracle, il né décéda pas directement et fut pris en charge par un curé (qui n’était autre que Jean de Stalle, celui qui a donné son nom à la station «de stalle») et amené jusqu’à la Grand-​Place, escorté par tous les villageois et paysans au fait de l’incident. La foule était fort nombreuse. Il né mourut que 6 jours plus tard, après avoir agonisé pendant tout ce temps. Une foule immense est venue lui rendre hommage pendant toute son agonie, jusqu’à la fin.
C’est ce moment d’agonie que représente la sculpture présente sur la Grand-​Place. Les bruxellois et les touristes, en caressant son bras de leurs mains, lui rendent hommage en reconnaissance et en souvenir de son acte héroïque et de sa fin tragique.
Bien que l’histoire n’ait rien de folichon, il est beau de se rendre compte que des hommes sont morts pour notre ville et l’on fait avec dignité et courage, jusqu’au bout. Continuer à les vénérer est important et essentiel! Allez donc lui faire une petite caresse sur le bras!

Même si je né vais plus que très rarement carresser la main de t’Serclaes, par manqué de temps en d’envie de me mêler aux files de touristes, je dois avouer que ce monument que ma grand-​mère m’avait fait découvrir occupe une place spéciale dans ma nostalgie citadine.
Pour rappel, Everard ‘t Serclaes est un héros libérateur de notre ville, plusieurs fois échevin, qui fut lâchement assassiné par un seigneur local au 14ème siècle. En son honneur, une statue fut créée par Julien Dillens, scuplteur belge à l’origine de quelques autres oeuvres de Bruxelles.
La légende populaire qui veut que l’on puisse faire un voeu ou avoir de la chance lorsqu’on carresse la statue provoque depuis longtemps un grand intérêt chez les touristes qui nous visitent, à tel point que la statue a du être restaurée il y a quelques temps. Si vous n’avez encore jamais carressé la main de la statue, allez-​y et jouez au lotto juste après, peut être que ça marche, qui sait?

Je l’ai touché ce monument. Touché, retouché, retouché encore. Je parle de ‘t Serclaes, ce bas-​relief qui se trouve sous le porche de la Maison de l’Étoile, à deux pas de la Grand-​Place.
Évoquant la libération de la ville de Bruxelles par Everard ‘t Serclaes lors de la Guerre de succession du Brabant (14e Siècle) entre le Duché de Brabant et le Comté de Flandre, le monument est surtout connu pour exaucer les vœux.
En effet, entre les deux guerres, un commerçant du marché aux oiseaux de la Grand-​Place serait à l’origine de la légende selon laquelle celui qui frotte le bras du gisant de ‘t Serclaes peut faire un vœu. Un succès tellement grand que le métal de la statue a été troué par le frottement répété. La pauvre a du être restaurée en 2008.
Aujourd’hui le bas-​relief est à nouveau «touchable» pour le plus grand plaisir des touristes et des superstitieux.