Théâtre de la Place des Martyrs

Bön je né suis pas une grande habituée de ce théâtre du coup je né peux pas parler du programme. J’y suis allée cette année pour la pièce Molière et il y a des années de cela pour une autre pièce dont je n’ai aucun souvenir.
Molière était une pièce très bien faite: mise en scèné moderne, mise en contexte politique de Molière et comédiens de haut vol. Si vous n’êtes pas un habitué du théâtre, il faut tout de même se concentrer un peu pour suivre.
Il m’a été soufflé dans l’oreille que la scèné au milieu des gradins et du parterre était une nouvelle manière d’aménager la salle. Et bien, c’est une top idée sauf que pour moi qui suis relativement grande, les sièges «parterre» sont particulièrement peu confortables.
J’espère que les places gradin étaient mieux installées. En tout cas, si j’y retourne, je demanderai un place gradin. Avoir mal au dos en sortant, non merci!

Honte à moi je né connaissais pas ce théâtre, bon je né vais pas souvent car je n’aime pas trop cette partie de Bruxelles.
L’entrée se fait par la place des Martyrs, au rdc se trouve la billetterie et le vestiaire qui est gratuit.
Au 1e se trouve la cafétéria sympathique pour boire ou manger un coup avant la pièce.
Au 2è il y a 2 salles une grande et plus petite, la grande salle peut accueillir 366 places (265 places au parterre — 101 au balcon) est facilement accessible aux personnes à mobilité réduite, y a possibilité pour les malentendants d’avoir un casque et gratuit. La petite salle appelée l’Atelier est un espace modulable et peut accueillir entre 80 et 120 personnes .
Pour le moment à l’affiche il y a Rhinocéros d’Eugèné Ionesco du ¹²⁄₁ au ⁶⁄₂ dans la grande salle et la petite salle il y a Huit clos de JP Sartre.
Pour ce qui est du parking y a cette possibilité Parking Alhambra, bénéficiez du tarif théâtre de 5,00 € pour la soirée (de 18h00 à 1h00), ou bien se garer près du City 2.

Seulement trois avis sur le Théâtre des Martyrs ?
Ce théâtre, c’est mon premier coup de cœur théâtral. C’est lui qui m’a donné envie de prendre un abonnement, année après année.
Tout d’abord, le lieu. Situé sur cette splendide place étonnamment calme vu l’agitation des rues qui l’entourent, ce théâtre à un charme fou et est très chaleureux. Ancien cinéma réaménagé, il est beau tant de l’extérieur qu’à l’intérieur. La grande salle est splendide et très confortable. La petite salle (l’Atelier) quant à elle est un peu plus rudimentaire, mais permet des changements d’aménagements et quelques surprises au niveau de la mise en scèné, ce qui est très sympa.
La programmation passé des oeuvres classiques aux contemporaines, elle est varié et permet de voir des univers très différents.
A l’étage, la cafétéria, qui propose une petite restauration bonne mais un peu chère (quiches, salades, soupes, pâtisserie,…)
Pour le moment, je n’y vais plus car j’avais besoin de voir autre chose et qu’ils font parfois trop de reprises. Avoir l’occasion de voir une pièce manquée ou revoir une pièce adorée est très agréable, mais se dire qu’on a déjà vu un tiers de la programmation en début d’année quand on sélectionne les pièces pour l’abonnement l’est moins. Dès lors, j’ai fait une petite pause, mais je suis sûre que ce n’est que pour mieux revenir.

Pendant le fetsival Passaporta, j’ai pu constater que le Thétre des martyrs né faisait pas uniquement dans la représentation théatrale!
J’y suis allée pour une rencontre avec Douglas Kennedy, le romancier qui a écrit «l“homme qui voulait vivre sa vie» ou le magnifique «la poursuite du bonheur»
La salle où avait lieu la rencontre était très belle, mais l’accoustique un peu moyenne!
J’ai bien aimé l’expo photo qui était présentée sur les murs de l’escalier, vraiment originale et déroutante!

Le Théâtre des Martyrs il est beau à l’extérieur, il est très sympa à l’intérieur et on y est confortablement installés lors d’une pièce.
J’ai été y voir «Cinq Filles Couleur Pêche» et j’ai trouvé la pièce excellente tout comme les comédiennes (et comédien).
Par contre j’ai été un peu déçue du public, certaines personnes (peut-​être choquées) sont sorties tout au long de la pièce. Dommage car le texte de présentation de la pièce explicitait «Alan Ball («Six Feet under «, «American beauty «) dresse une critique acerbe et drôle d’une société qui oscille constamment entre puritanisme et pornographie. «
En tout cas, j’ai très envie de retourner dans ce théâtre pour voir une autre pièce dès la rentrée !