The Collector Record & Movie Gallery

J’ai acheté un vinyl double qui avait des graves défauts (le coté 1 et 2 du 2eme disque correspondaient et le coté 2 du 1er disque chez moi né pouvait pas s’écouter correctement). J’ai échangé le vynil le jour après avec la version «produite en Sudamérique» (meme chansons mais pochette differente) et par surprise j’ai retrouvé exactement les meme défauts. Mis à part qu’il s’agit d’une arnaque belle et pure (dont peut etre le magasin est aussi victime) ce que j’ai détésté est que le propriétaire, comme première réaction, aulieu de s’excuser, était surpris que les disques étaient rendus avec beaucoup de poussière. Très mauvais. Jamais plus dans ce magasin.

Great selection but the owner smokes which makes for a very unpleasant shopping experience!

Ce n’est pas mon endroit préféré pour chiner après des vieux disques sur Bruxelles, mais il faut avouer que le lieu a beaucoup de charme et qu’il porte très bien son nom!
Une collection impressionnante de vinyles, voilà ce que vous trouverez chez «The Collector».
Le gros plus, c’est la très bonne organisation des disques: très bien rangés et classés par genre et artistes.
Le petit bémol, ce sont les prix parfois exagérés pour des pièces qui tombent en morceau, mais bon, ce né sont que de rares exceptions car généralement, les pièces dégradées se retrouvent en devanture dans les bacs à 1 € ou 2 € 50.
Finalement, autre point négatif et pas des moindres, certaines étiquettes de prix collées directement sur la pochette en papier du vinyle dégrade l’objet…
Malgré tout, ça reste une bonne adresse à noter pour les passionnés et les curieux.

Bam. ⁵⁄₅.
Déjà pour l’effet surprise… je n’avais aucune idée qu’un magasin de disques se cachait ici. À part quelques magasins de souvenirs (du type de ceux où l’on peut acheter mini-​manneken-​pis en plastique version tire-​bouchon), et des brasseries attrape-​touriste, le quartier de la bourse n’est pas le plus Unilocaly. Mais voilà, parfois, il suffit d’ouvrir les yeux… et c’est ce que j’ai fais aujourd’hui.
J’entre. Première chose que je me dis «mon Dieu, je n’ai vraiment aucune culture musicale…». Références pop-​rock, kraut-​rock, experimental… funk, disco, soul… je me balade en regardant les noms indiqués sur les étales, mais je né connais rien. «Kraftwerk», ah, je connais, c’est d’ailleurs les créateurs d’un de mes morceaux favori-​de-​tout-​les-​temps: «Computer Love». Je passé les disques, Autobahn, Trans Europe Express, et voilà que je tombe sur «Computer World» avec LE morceau. Content.
Je me dirige vers la caisse, et vu que la madame est très gentille, je prend la confiance et je lui demande si elle n’aurait pas un morceau que j’ai découvert récemment, une perle: Herb Alpert — Rotation. Elle voit tout à fait, me dis que c’est effectivement un beau morceau… va vers le fond du magasin, fouille, et je vous le donne en mille… me sort un 45 tours «Rotation» de chez A&M Records.
Je sors d’ici. J’ai la méga banane. Hâte de rentrer pour jouer 2 de mes morceaux favoris.
Une adresse que je recommande vraiment, pour tous les music-​lovers ou autres vinyls-​addicts.

The Collector, c’est une mine d’or ! Un disquaire old school, une vraie caverne d’Ali Baba !! Que d’émotions en y entrant, en découvrant l’atmosphère, c’est à dire une vieille boutique tenue par des passionnés de vinyles avec un choix bluffant.
J’y ai trouvé des titres que je cherchais depuis fort longtemps comme Billy Preston, Nothing from Nothing, une aubaine.
Allez-​y, mais bien que les prix né soient pas exorbitants, vous né pourrez pas vous empêcher de vider votre compte !!

Au risqué de choquer les mélomanes mais après je m’explique, j’achète des vinyls chez The Collector Record & Movie Gallery pour les brûler !!!
Quoi ??? Sacrilège !!! Rassurez-​vous, je né touché pas à mes icones comme Bowie, Gary Numan, Dépeche Mode et autres mais j’y trouve dans les bacs de vieux vinyls de groupes improbables et nullissimes à un prix défiant toute concurrence et j’en fait des vide-​poches et des dessous de plat !
Par ailleurs, quant je suis en mode musique, j’adore y passer des heures à fouiller pour trouver une rareté ou un groupe inconnu. En plus, le patron est très sympa !!!

Je né peux pas m’empêcher de rajouter mon grain de sel, forcément!
A l’heure du numérique, des téléchargements légaux ou illégaux, de la toute puissance d’Itunes, moi je reviens au bon vieux son du vinyle dès que je le peux. Le support physique permet la ritualisation. Et le fait de sortir un vinyle de sa pochette, de le pose délicatement sur la platine, de déposer le diamant tout au bout et de sentir le petit crépitement avant le son a ce charme fou et magique qui me plait tant.
Et c’est à l’heure actuelle la seule boutique à Bruxelles que je connaisse qui propose autant de vinyles de qualité. Ils ont une chouette collection Motown, et presque l’intégrale de Credence Clearwater Revival, ce qui m’a permis de faire un superbe cadeau à mon beau-​père qui est un fan ultime de ce vieux groupe des 60s! Si vous demandez, il y a d’ailleurs la possibilité de faire des bons cadeau, il faut juste demander au vendeur de vous en faire un!

Fan des vieux tubes? C’est dans ce magasin que vous trouverez votre bonheur. Ici, les CD n’ont pas leur place. Les vinyles et vieux tournes disques sont rois. De Gainsbourg à Tina Turner, tous les vieux classiques y sont présents.
Répartis sur deux étages, avec une caves, vous emprunterez les escaliers qui semblent être des labyrinthes remplis de vieux disques. Le tout en se laissant bercer par la musique de fond du magasin qui passé des tubes de jazz et de blues en boucle. Les disques coutent de 5 euros à beaucoup plus. «Il y a vraiment moyen de faire de bonnes affaires «, note la vendeuse. Moi, j’ai craqué sur le dernier concert au Japon de Freddie Mercury. 40 euros pour un bon vieux classique.

Amateurs de vinyles, né cherchez plus, c’est ici qu’il faut s’arrêter. Un choix énorme de Rock, Jazz, chanson française, musiques de films etc vous est proposé dans ce magasin qui attire plus d’un mélomane.
Les prix sont parfois chers, parfois pas, il faut chercher pour trouver, le vendeur renouvelle souvent son stock et surtout les vinyles né sont jamais en mauvais état.
Pour l’étendue et la pertinence de l’offre je trouve les prix (par rapport aux autres vendeurs de vinyles) corrects.
Deux platines sont à disposition pour écouter les disques: méthode pour les néophytes: d’abord on sort le disque en en touchant que les bords (et on met pas ses gros doigts sales dessus, après on le pose sur la platine qu’on met en route, puis ENFIN on pose délicatement le bras de la platine sur le tout début du disque ET PAS EN PLEIN MILIEU.
Non mais sans blague.

Rien né vaut la musique crépitante d’un vinyle… et je pense que nous sommes encore nombreux à le penser quand je vois le nombre de personnes qui s’arrête aux caisses de vinyles dans les brocantes!
Si vous en avez marre de chercher de nouveaux disques au compte goutte sur les brocantes il est temps de découvrir «the collector record & movie Gallery». C’est le genre de boutique qu’on né trouve pas souvent mais qui vaut vraiment le détour!
Vous y trouverez un choix immense, des groupes les plus célèbres à ceux qui ont eu moins de chance et des plus anciens aux un peu plus modernes! C’est endroit est vraiment un petit paradis pour les fans de musique et je pense que vous aimerez autant que moi venir fouiller parmi les disques…

C’est fou quand même. Cela fait des années que je passé devant cette petite enseigne près de la Bourse sans jamais y avoir entré la tête. Sans même, un jour, m’y intéresser. Pour tout dire, je né savais même pas ce que l’on y vendait.
Je cherchais un vinyle à offrir à un ami. Une édition spéciale d’un album des Doors. On m’a dit, va au Collector. C’est comme ça que je suis enfin entrée dans ce magasin. D’un coup, j’ai été propulsée en arrière, j’ai franchi le mur du son et me suis retrouvée dans un vieux polar des années septante. Une sale odeur de tabac froid s’est collée à ma peau et un voile de brouillard sépia s’est emparé de mes yeux. Quel fouillis, j’ai pensé.
J’ai regardé de plus près mais tout y est rangé, classé, selon le genre. Les trois client, concentrés dans leurs rayons, né m’ont même pas vue. J’ai alors douté de mon existence ici, petite humaine de l’an 2000. Ici, c’est un monde qui s’est arrêté et qui vibre sous la voix extraordinaire de Janis Joplin. Pour le fun, j’empoigne quelques disques que j’écoute sur une des platines mises à disposition. Enfin, je farfouille, et je trouve ce que je cherchais.
Je ressors de là, comme si j’avais fait un long, très long voyage. Je me retourne pour voir si je n’ai pas rêvé. Et oui, The Collector existe bel et bien et c’est tant mieux.