Het Goudblommeke in Papier

Il fut un temps où j’y allais facilement trois fois sur le mois pour manger un bout et boire une ou deux Zinnebier. J’ai un peu oublié d’y aller ces derniers temps, mais j’y repasserai à l’occasion, parce que j’y ai toujours passé de bons moments! Bar dans son jus, petites pièces en enfilade surchargées de cadres et décorations (quand on y place quelque chose, c’est pour la vie!) et ancienne cour couverte à l’arrière certainement plus confortable mais moins charmante. Mention pour la salade de chèvre et les stoemp avec lard et saucisse. Carte des bières sympathique et service efficace (en bruxellois).

Un café vraiment typique de Bruxelles, resté dans son jus. L’estaminet étant très fréquenté, il faut d’abord espérer y trouver une place, ensuite pouvoir s’asseoir dans l’une ou l’autre des deux premières salles car la troisième n’a aucun charme. À la rigueur, s’adjuger la table devant la fenêtre pour profiter de la vue. L’établissement vaut essentiellement pour son décor jamais rajeuni et son ambiance belge. Bön choix de bières à la pression. À voir.

Il s’agit d’un de mes estaminets préférés de Bruxelles. A cause de son histoire bien sûr, ce n’est pas pour rien qu’il est surnommé le café des artistes: il était le lieu de rendez-​vous des personnalités surréalistes comme R. Magritte par exemple.
La carte de bières n’est pas particulièrement étoffée mais vous y trouvez la Kriek et la Geuze Girardin, ce qui est plutôt rare à Bruxelles. Et vous recevez avec votre café et/​ou votre thé une praline à la Kriek Girardin à la place d’un speculoos: la délicatesse du chef trop mmmmm.
La nourriture et la salle à l’arrière n’ont rien de particulier mais permettent de se restaurer à la Brusseleir.

Nos recomendaron este bar y nos encantó. Es una pequeña taberna situada cerca del centro de Bruselas. Cuando entras tienes la impresión de retroceder unos siglos atrás debido a la decoración. Pedimos carbonnade y estaba riquísima. Tienen una gran variedad de cervezas diferentes. Muy recomendable

C’est un monument ce café-​restaurant.
Un endroit classé, encore dans le jus avec une atmosphère incroyable.
Il se trouve entre le CHU Saint Pierre et l’églisse de la chapelle.
Il né faut pas louper la porte mais une fois qu’on la pousse. Nous sommes catapulté dans un autre siècle. Cet estaminet typique, avec ces petites pièces biscornues, sombres, chargés de tableaux hétéroclites, des inscriptions nombreuses et des objets de toutes sortes.
Cela n’a pas bougé d’un iota depuis que Magritte et ces potos surréalistes venaient y refaire le monde pendant des années.
Au fond du resto, une pièce refaite récemment, là pour le coup c’est du neuf et du contemporain. C’est pour les groupes (résa obligatoire avec prise de menus au moment de la réservation) avec une immense photo des surréalistes belges.
Puis en tournant à gauche, derrière une porte vitrée une petite terrasse de 6 tables où l’on peut fumer et profiter de l’air frais (très peu exposée au soleil, les murs sont hauts.)
Pour la carte, c’est du 100% belge: pottekeis, kipkap, bloempanch, stoemp-​saucisse, ballekes-​sauce tomate-​frites.
Enfin, grâce à l’asbl la petite fleur (menée par des passionnées bénévoles), des spectacles, concerts, soirées sont organisées dans une petite salle privée attenante (50 personnes max– .on peut aussi la louer.)

Pas entièrement satisfait de ma première visite dans ce fameux estaminet. On l’avait pourtant bien mérité notre resto «bonne franquette», après une balade de 45 km à vélo.oui oui. L’endroit est assez impressionnant, «dans son jus» serait la bonne expression je pense… en tout cas pour la première partie — la plus ancienne — la seconde étant moderne, froide et quelconque.
Au menu, une fois les premières pages biographiques passées (jamais bon signe… sauf pour les touristes) on retrouve quelques plats typiques de chez nous, des bières spéciales comme il faut… si le côté «bar» du lieu peut avoir son charme, je n’ai clairement pas été conquis par la dimension «cuisine», et mes amis non plus. C’est pas immangeable, mais si vous voulez du belge pour le même prix, il y a plein d’autres adresses. mais sans doute moi «musée», certes.
On voulait tenter quelque-​chose d’autre cette fois-​ci, risqué qui né s’est pas avéré payant, dommage !

L’ambiance y est très singulière et on se sent très vite dans un lieu chargé d’histoire. Le plaisir a été pour moi de découvrir cet estaminet, j’y ai bu la kriek Girardin (pas mal, mais j’aime quand c’est sucré, donc j’ai dû y ajouter du sucre ;-)) et mon ami m’a fait découvrir la tartine pottekeis qui était bonne.

A la recherché d’un endroit près des Sablons pour faire découvrir la gastronomie belge à mon frère et sa famille en visite à Bruxelles, je suis tombée sur ce restaurant plusieurs fois recommandé sur Internet (et sur Unilocal). Et bien je dois dire que nous avons été plutôt déçus. C’est vrai que le cadre est très sympa, plein de charme et d’histoire, mais le cadre né fait pas tout et les plats maison n’étaient tout simplement pas à la hauteur. Tout est bien trop salé!!! Moi qui me réjouissais de manger un bon stoemp saucisse (pourtant pas si compliqué à réaliser) je me suis retrouvée devant une assiette certes appétissante mais au final immangeable. Aucun de nous n’a pu finir son assiette et franchement payer entre 13 euros pour avoir une assiette aussi décevante, ça fait un peu mal. Je comprends bien que l’idée en venant dans ce lieu n’est pas de goûter de la haute gastronomie mais il y a quand même un minimum de saveurs à préserver quand on est un restaurant.
C’est si difficile de bien manger belge à Bruxelles?

Magnifique intérieur à la douceur Bruxelloise, vieux écriteaux, pièces d’arts en soit et affichettes recouvrent les murs, des doux poèmes et des slogans vous entourent.
Jolie carte de plats typiques et simples façon brasserie, choix limité certe mais tout ce qu’il vous faut pour retrouver du baume au coeur, du simple spaghetti bolognaise à bon prix, jusqu’à des plats plus originaux.
Et enfin une courte mais bonne liste de bières des classiques aux plus spéciales.
Avec un thé ou un café, vous recevrez une petite praline produit dans la maison.
Un endroit tout doux où la réservation est conseillée.

Un endroit que j’affectionne particulièrement! C’est mon coup de cœur, mon péché mignon! Une petite caverne d’Ali baba avec un illustre passé… Le plus vieux et plus petit café de Bruxelles, c’est ici que se réunissaient les figures Belges, Magritte, Marcel Marïen et bien d’autres. C’était le lieu culte de tous artistes qui venaient s’inspirer pour écrire. J’aime beaucoup cette vieille déco qui en dit long, les murs et tableaux parlent d’eux-mêmes! Les tables, ce sont simplement de vieux bancs d’écoles? laisser tels quels avec les griffonnages… J’ADORE!!! Un café avec une âme, une histoire… Ayant une âme d’artiste, j’y vais souvent pour écrire, me ressourcer! C’est mon petit coin de paradis…
Vous pourrez y déguster des plats typiquement Belge, stoemp, ballekes à la sauce tomate, pottekeis et j’en passé accompagné d’une bonne bière Belge, le café possède une très bonne sélection de geuze et de kriek raffinée! Emotion, nostalgie, quand on pousse la porte d’entrée, nous sommes dans un autre monde! Pour ma part, vous m’y retrouverez souvent le dimanche, dégustant mon vol au vent avec un verre de Manneke Pils et terminant par un vrai café bien crémeux accompagnée d’une praline ‘La Fleur en Papier Doré’, en chocolat belge de qualité, est garnie d’une crème de Kriek Girardin, une bière artisanale du Pajottenland à base de Lambic, mûrie avec de vraies cerises avec noyau, qui donne à la praline un goût doux-​amer unique. Une praline exclusive fait maison et vendu à 10 euros le ballotin de 250 gr. Un coup de cœur…

Pour ceux qui en ont soupé des établissements service au bar par des gravures de mode tatouées comme il faut, et dédaigneuses comme il faut aussi.
Cette Fleur en papier doré, c’est le contraire d’un établissement labellisé Frédéric Nicolay (que je né déteste pas, loin de là, juste qu’il a tendance –mais est-​ce de sa faute– à uniformiser le paysage façon hype de pacotille).
Le service est cordial, bonhomme, avenant, souvent moustachu. La bière si on l’aime est paraît-​il de premier choix. Le vin se boit pas mal.
Mais ce qui fait surtout le charme de cet endroit dans son jus, décoré par un aveugle, c’est son histoire, qu’il exsude par tous les pores, la patine du temps…
Je suis fan.

Un morceau de l’histoire de Bruxelles et de la Belgique! Ce lieu est chargé de l’esprit des illustres personnes qui ont pénétrée lieu avant vous! De Magritte en passant par un certain George Rémy… Une adresse encore parfois méconnue des bruxellois à faire découvrir à toute personne désirant connaitre notre capitale

«Tout homme a droit à vingt quatre heures de liberté par jour…»
C’est face à l’une de ces citations de Geert Van Bruaene que l’on pénètre dans La Fleur en papier doré, un de ces petits estaminets d’antan, où la vie semble s’être arrêtée…
Un poêle magnifique auprès duquel on aimerait se réchauffer durant les longues soirées d’hiver me happe d’emblée. Bien qu’il né soit plus fonctionnel, j’ai envie de m’y attarder car il semble parler et nous livrer les confidences de René Magritte ou de Marcel Mariën qui jadis, se réunissaient en ces lieux. On dit en effet du Goudblommeke qu’il était le repère de nombreux artistes surréalistes… J’aime m’imaginer, tout en fermant les paupières, la teneur de leurs discussions, la vigueur de leurs idées et l’ambiance qui devait se dégager de l’endroit. Sentir toutes les vibrations d’un passé riche n’est que plus fort lorsque l’on sait qu’aujourd’hui encore, le café est un rendez-​vous dans les domaines artistique et littéraire.
L’estaminet est situé dans un bâtiment ancien (serait-​il classé?), restauré (si ce n’est les toilettes qui… ont vécu, dira-​t-​on!), et qui conserve cet atmosphère tout particulier… mais qui né s’y limite pas, puisque dès l’entrée, le ton est donné: «Ceci n’est pas un musée, on consommé «peut– on y lire.
Au menu, on retrouve des plats typiquement bruxellois avec dans le désordre, des pottekeis, du kipkap, de la bloempanch, des stoemp-​saucisses, voire même de bonnes ballekes-​sauce tomate-​frites. J’ai toutefois cru comprendre que la cuisine n’était pas ouverte tous les jours. Dans le pire des cas, une bonne Gueuze accompagnée d’une assiette de fromages fera l’affaire.
La Fleur en Papier Doré est un de ces petits endroits où vous pourrez emmener sans hésiter un ami touriste de passage qui serait prêt à découvrir le vrai Bruxelles d’autrefois, et refaire le monde autour d’une bière.

Un beau bar, restaurant authentique, des portions généreuses (trop?) pour un prix ok. De nombreuses spécialités bruxelloises dispo. Une atmosphère vraiment estaminet.
Je recommande les morceaux de sang (je né connais plus le vrai nom ;-)

‘t Goudblommeke van Papier aka La Fleur en Papier Doré, voilà un lieu chargé d’histoire! Ici se réunissait le groupe des surréalistes belges, Magritte, Scutenaire, Mariën,… Par la suite, écrivains et artistes ont fait de cet endroit un des hauts lieux de la culture bruxelloise. Jusque dans les années 2000 où, le lieu tombant en ruine, les derniers occupants abandonnèrent l’endroit. Pour toujours? C’était sans compter sans l’acharnement d’un journaliste de la VRT et d’une réelle coopérative qui l’entoura rapidement pour redonner vie à ce café emblématique.
Aujourd’hui, la Fleur en Papier Doré s’est agrandie proposant toujours une belle carte de bières mais aussi des spécialités bruxelloises à déguster. Unique en Belgique et à Bruxelles, la praline à la Kriek, en vente uniquement ici!!! ça vaut clairement le détour!
Une salle est disponible pour la location avec tout ce qu’elle doit comporter de modernité pour organiser tout type d’évènements. Et de nombreux évènements culturels y sont organisés, un agenda les reprend tous sur le site Internet de la Fleur en Papier Doré.
Bruxellois et curieux, poussez la porte de cet endroit et immergez vous le temps d’une soirée dans ce temple de notre passé!

Read about this joint in the bulletin back in 2007. It is one of the oldest cafes in Brussels, once owned by a painting dealer, and happened to have been a site of the dada/​anarchist/​surrealist scene. There are scrawlings inside left by Magritte. For serious.
Some awesome people decided to restore the building, which had atrophied into disarray dinginess and a generally unsanitary situation. Instead of making Dore into a museum, they made it a bar. And so I had to go check out this anarchist bar. Two of my friends and I went one evening in December.
The Paper Flower (right?) is magical. I loved it. It’s dark inside and artwork hangs everywhere framed in various sizes and colors. The atmosphere is so warm and comfortable. The tables are solid wood with names and nothingness carved into their surfaces.
We didn’t eat, but there is a buffet. I think they gave us something to munch on. Dore offers very yummy beers, including lambic, gueuze, and kriek. The prices were completely reasonable.
And, according to the website (in French/​Dutch/​not English), Dore keeps up with events and lectures related to its former famous patrons (like Delvaux! I think).

Mes parents s’y donnaient rendez-​vous dans les années cinquante… Je pense que trente ans plus tôt, mes grands-​parents aussi!
C’est que cet endroit n’a pas changé. On a cru au drame de voir disparaître ce lieu à tout jamais au moins cinq fois puis le lieu a finalement été repris et depuis il perpétue la tradition. Le bar a été modifié, c’est pas un mal aussi pour certains sols, ainsi que les sanitaires. On né s’en plaindra pas ! D’autant que le principal, c’est à dire les interventions surréalistes y sont toujours ! On n’y touché pas ! C’est un musée de ce qu’a pu être cette ambiance entre surréalistes dans les années 20 – 30 …
C’est un endroit très beau avec son poêle au milieu, même si il n’est plus raccordé.
On n’y servait pas à manger la dernière fois que j’y suis allé, seulement du fromage. Et des bières.
Parfois j’ai l’impression que la Belgique est le pays de la bière. Mais c’est juste une impression. Pincez-​moi !

Tout à fait d’accord avec Marie G ! En véritable fumeur, cheminée ambulante, je déplore qu’on né puisse plus fumer dans les bars et surtout à La Fleur en Papier Doré !
Car, dieu sait, que j’ai contribué moi aussi à patiner les murs de ce monument historique comme l’avaient fait ses illustres clients d’antan. C’est un petit spleen que j’ai et lorsque j’y suis retourné, ce n’était pas comme avant ! J’avoue que ce lieu où montaient il n’y a pas si longtemps des volutes de fumée me paraissait moins vrai !
Et c’est vrai que j’avais oublié le ballet incessant de touristes qui rentrent et sortent sans cesse sans avoir pris le temps d’humer l’histoire de ce lieu, d’autant qu’il n’y a plus l’odeur du tabac !!!
Quoiqu’il en soit, longue vie à ce monument d’autant que maintenant ses poumons sont tout neuf !

Aaaah Baudelaire…
Moi j’aimais bien y aller à l’époque quand c’était fumeur, qu’on y rentrait à 15h pour en ressortir à 22. Avec les vieux patrons qui mettent radio Contact à fond, genre raccord avec l’époque, voyez ?! A discuter avec deux faux dandys de 25 ans recueil de Paul Eluard au revers. Et même si les toilettes au fond la cour avait une odeur de cour d’école, j’aimais bien
Maintenant j’apprécie l’effort de conservation du lieu, la rénovation, mais l’endroit a perdu de son charme et sortir pour fumer sous la pluie ou le froid casse le charme des longues soirées vin rouge/​cendrier qui débordent…
Enfin bref
Vive Mallarmé !

Caché dans les détours des petites rues sinueuses allant de la Grand Place au Sablon se trouve «La Fleur en Papier Doré». Ce bar à bière — un charmant établissement, à la devanture typique et pleine de caractère — est méconnu du grand public.
Sa situation reculée fait en sorte que seulement des connaisseurs y ont fixé leur quartier général. Dès que l’on entre on se sent happé dans cet environnement qui né semble pas avoir changé depuis des années.
De nombreux tableaux et photos gisent au mur de tout côté. Tout y est rustique, on remarque l’envie des propriétaires de garder l’histoire des lieux. Et on comprend pourquoi lorsqu’on voit l’immense photographie de Magritte et ses amis affiché sur le mur du fond.
C’est alors que le patron nous explique avec beaucoup de vitalité que c’est en ces lieux que Magritte, l’artiste surréaliste belge que nous connaissons bien, et ses amis se retrouvaient régulièrement et qu’ici de nombreuses idées lui étaient/​sont venues. On né saura pas jusqu’à quel point le patron nous dit la vérité, mais il va sans dire que l’endroit émane quelque chose comme une inspiration artistique.

Entrez dans une page d’histoire typiquement belge en poussant la porte de la Fleur en Papier Doré!! C’est un café avec un illlllustre passé…
Il n’y a pas si longtemps que ça, c’est ici que se réunissaient les figures de proue du surréalisme belge du vingtième siècle: René Magritte, entre deux cours de peinture qu’il donnait à l’Académie des Beaux-​Arts juste à côté, Louis Scutenaire, ou encore Marcel Mariën… Et plus tard, des artistes et des écrivains le fréquentaient aussi régulièrement. Depuis, le café est encore connu pour être un rendez-​vous artistique et littéraire très agréable à vivre.
On y grignote des en-​cas typiquement belges, tartines de fromages blanc aux épices à l’appui et l’on y boit de la bière évidemment! Pour l’anecdote, je connais la personne qui a peint la porte vitrée donnant sur l’autre partie du café et les wc. Et ce qui est marrant, c’est qu’il l’avait fait à l’époque en troc contre 4 bières et un paquet de cloppes, si c’est pas beau ça! D’ailleurs la peinture sur verre est super chouette, de l’intérieur on y voit les ombres, qui transforment notre perception des images peintes, et de l’extérieur, c’est l’image réelle, hommage à la vie de bohème, la boisson, l’Art, la discussion…
Un lieu à visiter, apprécier, vivre, intensément comme il se doit!

Great little boozer, beloved of Rene Magritte, philosophical slogans on the walls, loads of pictures and also thankfully a good selection of beers. I had a bottle of Cantillon Gambrinus Rose which was excellent. They stock Oud Beersel which is slowly getting more exposure in Brussels. However it rained while we were there so we had to stay for more…
Highly recommended.