Hopital Erasme – Universite Libre de Bruxelles

Que dire d’un hôpital ?!
Accès facile avec le métro (pas de bol pour vous si c’était l’ambulance…); mini centre commercial à côté pour patienter durant les interminables heures d’attente passées aux urgences…
Sinon c’est un hôpital avec des médecins qui sont des «pointures» dans leur spécialité, qui en plus peuvent bénéficier de toute la technologie de pointe mise à leur disposition.

Que voulez vous dire d’un hopital? Je né suis pas à même de juger la qualité des soins. Oui, c’est vrai, la bouffe fait peur, c’est hallucinant de médiocrité. Si l’on croit que le rétablissement des patients passé par son alimentation, il y a comme un bug. Ajoutez a cela que les infirmières sont débordées, sous staffées et vous aurez les points négatifs. Pour les points positifs, il s’agit d’un hôpital de pointe, les équipes sont efficaces, les soins au niveau et, franchement tant ma famille que mes amis qui ont passé quelques jours là bas sont sortis heureux. ET ça c’est bien.

Hôpital cool et sympa où l’on aime venir se balader au gré d’un accident de la route ou d’une crise cardiaque.
L’accueil y est aussi chaleureux que dans un frigo ouvert trop longtemps et les places de parking sont légions, romaines, donc plutôt rares en ce XXIème siècle à Anderlecht.
Les infirmières et les docteurs tout droits sortis de séries estudiantines ulbesques sont très gentils, surtout quand on les croise. Quand on leur parle, paradoxe: on comprend qu’ils sont en fait très occupés. Oui, à l’hôpital, c’est nous le menu, pas les clients ;-) Alors ils ont fort à faire pour savoir comment ils vont nous cuisiner.
Les couloirs sont aussi vivants que les couloirs de la mort. Les tubes néons nous rappellent des économies énergétiques d’une autre époque. Même les ordinateurs sont fatigués.
Ce que j’aime dans cet hôpital, c’est ce qu’il y a dehors. En effet, moins on y est, mieux c’est.
Ah oui j’oubliais. Si vous rentrez par la porte principale, vous verrez que c’est la seule prison où les détenus peuvent s’autodétruire en toute liberté.
Ahhhh l’hôpital. Sans lui, notre espérance de Twitter, de Facebooker, de Unilocaler, de vivre quoi! serait raccourcie.
Voilà pourquoi aujourd’hui j’ai décidé de rendre gloire à tous ceux qui font de l’hôpital un endroit où il est très important de né pas se trouver.
PS: tout ce que je viens d’écrire n’est pas à prendre au sérieux. Je félicite de tout mon cœur le personnel hospitalier pour l’empathie et la compassion dont ils font preuve pour nous aider à surmonter nos épreuves.

Très antipathique et leçon de morale, nous avons été deux fois, ils étaient antipathique plus pour ma compagne que moi car c’était difficile pour elle de trouver un créneau pour se libérer, suite à ses études d’infirmière complexe, et effectivement son oeil était rouge ! Une grande leçon de morale de la part de l’accueil ophtalmo ! Par contre moi, j’ai senti une certaine pression et leur pression ils l’a mettent sur les patients, pas à l’écoute des patients pendant la visite… Ce service assez moyen !

C’est là que j’irai mourir: les gens y sont super sympas

Le nombre de fois où je n’ai pas dû venir ici ! Je né doute pas de leur qualité, à vrai dire j’ai été ici pour voir des spécialistes, donc un endocrinologue et une dermatologue. Et je peux vous assurer que pour les deux cas ils ont fait des miracles pour moi ! Je suis donc sûr que cela sera le cas pour les autres spécialistes.
Le cadre de l’hôpital est très propre et les files d’attentes à l’accueil né sont même pas aussi longue.
La seule chose que je n’ai jamais aimée aux hôpitaux, mais je crois que c’est universel, c’est l’espace fumeur que vous trouvez avant de rentrer dans l’hôpital. Il n’y a rien de plus dégueulasse et de dépriment que voir des gens avec une infuse dans le bras ou une bonbonne à air fumer une cigarette !